Le plancher de la salle de bain
Au menu de mai et juin 2007, parmi quelques autres activités:
Mais, hormis la dalle OSB, cette méthode est très loin d'être idéale d'un point de vue esthétique et phonique.
- ça reste un plancher cloué qui transmet trop bien les bruits d'impact
- ça ne règle pas le problème des lattes déjà posées qui grincent
- ça ne rattrape pas les écarts entre les lattes déjà posées, les lattes un peu abimées, les lattes qui s'avèrent bouffées par les xylophages
L'erreur initiale a été de commencer l'isolation intérieure des murs et l'ossature des cloisons avant d'attaquer la rénovation du plancher. Cette erreur est le résultat d'une cascade de choix et de circonstances. En effet, c'est pas facile du tout de décider dès le départ de tomber toutes les cloisons existantes, déposer tout le plancher après marquage/numérotation, nettoyer/traiter/renforcer/caler la poutraison, poser une dalle OSB semi-flottante, continuer avec l'isolation et l'ossature des cloisons, puis enfin reposer l'ancien plancher de façon flottante en renovant tous les aboutages au fur et à mesure, puis ponçage et finition classique.
Ca semble un boulot pharaonique, et c'est vrai que c'est un travail de longue haleine. Néanmoins, avec le recul, c'est moins long et d'une certaine manière moins coûteux que ce que j'ai fais. Qui déciderait de se lancer là-dedans plutôt que remplacer un bout ici, renforcer un bout là, caler vaguement, poncer puis reboucher deçi-delà? En effet, dit comme ça, ça paraît pas bien pénible ni long à faire. Et pourtant, ça fait maintenant 1 an et demi qu'on a commencé à rénover ce plancher, et c'est presque, mais pas encore fini!...
Revenons en détail à cette histoire de plancher de salle de bain...
A compléter...
- démontage du vieux plancher
- destruction du plafond dessous
- nettoyage et traitement préventif des poutres
- renforcement des poutres "buchées"
- raccord de plancher entre mezzanine et sdb
- calage à niveau des poutres
- pose de la lisse-basse côté mur
- pose semi-flottante du nouveau plancher en dalles OSB
Mais, hormis la dalle OSB, cette méthode est très loin d'être idéale d'un point de vue esthétique et phonique.
- ça reste un plancher cloué qui transmet trop bien les bruits d'impact
- ça ne règle pas le problème des lattes déjà posées qui grincent
- ça ne rattrape pas les écarts entre les lattes déjà posées, les lattes un peu abimées, les lattes qui s'avèrent bouffées par les xylophages
L'erreur initiale a été de commencer l'isolation intérieure des murs et l'ossature des cloisons avant d'attaquer la rénovation du plancher. Cette erreur est le résultat d'une cascade de choix et de circonstances. En effet, c'est pas facile du tout de décider dès le départ de tomber toutes les cloisons existantes, déposer tout le plancher après marquage/numérotation, nettoyer/traiter/renforcer/caler la poutraison, poser une dalle OSB semi-flottante, continuer avec l'isolation et l'ossature des cloisons, puis enfin reposer l'ancien plancher de façon flottante en renovant tous les aboutages au fur et à mesure, puis ponçage et finition classique.
Ca semble un boulot pharaonique, et c'est vrai que c'est un travail de longue haleine. Néanmoins, avec le recul, c'est moins long et d'une certaine manière moins coûteux que ce que j'ai fais. Qui déciderait de se lancer là-dedans plutôt que remplacer un bout ici, renforcer un bout là, caler vaguement, poncer puis reboucher deçi-delà? En effet, dit comme ça, ça paraît pas bien pénible ni long à faire. Et pourtant, ça fait maintenant 1 an et demi qu'on a commencé à rénover ce plancher, et c'est presque, mais pas encore fini!...
Revenons en détail à cette histoire de plancher de salle de bain...
A compléter...